Ce matin à ma fenêtre...

Certes, la vitre manquait un peu de transparence !
La photo n'est pas nette. Aussi ai-je préféré que chardonneret paraisse à son avantage, Ut pictura poesis !
Quand la vitre est trop propre, les oiseaux viennent s'y fracasser ! Quatre moineaux et un merle juvénile cet hiver ! Heureusement, pas de mésange cette année ! Viennent s'ajouter au tableau : un moineau tombé du nid croqué par le chien, féroce molosse, et deux autres moineaux dévorés par Kes, l'épervier des terres gelées. Il a laissé les becs !
C'est la première année qu'ils restent tout l'hiver. Sûrement encore un coup du réchauffement climatique ! Ou nichée tardive ? Seul un tout petit venait au début octobre à la mangeoire, quelquefois deux. Les adultes sont arrivés plus tard, après la grosse gelée. Maintenant ils sont de plus en plus nombreux à se chamailler, entre eux et avec les verdiers, aussi voraces que les premiers. Dommage collatéral : je ne vois plus le couple de pinsons des arbres, pourtant si élégants, (plus que le chardonneret, à mon goût). Mais eux, je n'arrive pas à les prendre en photo ! Las.
Les années précédentes, les chardonnerets ne faisaient que passer, mais occupants hégémonique des mangeoires, tellement que les moineaux, communis et friquets au gros bec, s'en allaient le remplir ailleurs !
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Magnifique vidéo de Chardonneret élégant en liberté - European Goldfinch - Carduelis carduelis
Comment distinguer les mâles des femelles sur un groupe de chardonnerets élégants en liberté se nourrissant de graines de tournesol, décembre 2008, Gard, France.