Ce matin à ma fenêtre...

Publié le par Catherine Barbé

... un chardonneret élégant !
...un chardonneret élégant !

Certes, la vitre manquait un peu de transparence !

La photo n'est pas nette. Aussi ai-je préféré que chardonneret paraisse à son avantage, Ut pictura poesis ! 

Quand la vitre est trop propre, les oiseaux viennent s'y fracasser ! Quatre moineaux et un merle juvénile cet hiver ! Heureusement, pas de mésange cette année ! Viennent s'ajouter au tableau : un moineau tombé du nid croqué par le chien, féroce molosse, et deux autres moineaux dévorés par Kes, l'épervier des terres gelées. Il a laissé les becs !

 

Les chardonnerets du jardin

C'est la première année qu'ils restent tout l'hiver. Sûrement encore un coup du réchauffement climatique ! Ou nichée tardive ? Seul un tout petit venait au début octobre à la mangeoire, quelquefois deux. Les adultes sont arrivés plus tard, après la grosse gelée. Maintenant ils sont de plus en plus nombreux à se chamailler, entre eux et avec les verdiers, aussi voraces que les premiers. Dommage collatéral : je ne vois plus  le couple de pinsons des arbres, pourtant si élégants, (plus que le chardonneret, à mon goût). Mais eux, je n'arrive pas à les prendre en photo ! Las.

Les années précédentes,  les chardonnerets ne faisaient que passer, mais occupants hégémonique des mangeoires, tellement que les moineaux, communis et friquets au gros bec, s'en allaient le remplir ailleurs !

 

Giambatista Tiepolo,"Madonna del cardellino",1767-1770,  sur  le blog bellesplumes.

Giambatista Tiepolo,"Madonna del cardellino",1767-1770, sur le blog bellesplumes.

Et pour finir, Chardo fait son cinéma !

 

Publié dans JOURNAL, Au jardin

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